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C'est un paradoxe plutôt frustrant : la rédaction de Nice-Matin, qui quadrille la ville de Cannes toute l'année, se retrouve chaque mois de mai happée dans un événement couvert par de grosses rédactions venues de différents pays. Faudrait-il pour autant abandonner toute couverture audacieuse du Festival de Cannes ?

festicannesFestival de Cannes

"Non", répond Damien Allemand, responsable du numérique chez Nice-Matin. Il s'agit plutôt de profiter de l'occasion pour tester de nouveaux formats. Parmi les pistes retenues, les vidéos sur Facebook et l'application Snapchat, décidément de plus en plus vogue dans les rédactions.

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